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Alors que le trafic de l’internet mobile enregistre une forte croissance, les opérateurs améliorent la qualité de leurs réseaux pour qu’ils puissent absorber cette montée en puissance, tout en dopant les performances. La rivalité effrénée à laquelle se livrent les acteurs du secteur les pousse également à tout faire pour conserver un avantage technologique sur leurs concurrents. Une évidente question d’image.La 4G commence à peine à s’imposer, grâce à la disponibilité d’un nombre de plus en plus conséquent de smartphones compatibles, que Proximus déploie déjà une nouvelle version de la technologie, la 4G+, dans quatre villes. Il s’agit de Gand, Anvers, Bredene et Louvain. Namur devrait rejoindre ce club encore très fermé d’ici la fin de l’année.
Cette nouvelle technique de transmission mobile permet d’atteindre des vitesses jusqu’à deux fois plus rapides qu’en 4G. Avec cette dernière, les débits théoriques s’élèvent à 120 voire 150 Mbps. Avec la 4G+, on peut donc rêver de vitesses avoisinant les 300 Mbps. « Proximus veut garder son avance technologique et permettre à ses clients de continuer à bénéficier de la meilleure expérience en données mobiles sur l’ensemble de ses réseaux, tout en se préparant aux technologies de demain », explique son porte-parole, Haroun Fenaux.
Un lancement qui s’est fait plutôt discrètement. L’activation dans ces quatre premières villes a été faite fin septembre mais Proximus n’avait rien communiqué. Pour une raison simple : les smartphones compatibles avec la 4G+ sont encore rarissimes.
« Actuellement, les seuls appareils disponibles sont le Samsung Galaxy Note 4 et le Samsung Galaxy Alpha », précise-t-on chez Proximus. Qui ajoute que dans les mois à venir, de plus en plus d’appareils seront compatibles avec la technologie 4G+ et offriront la possibilité de faire usage de ces vitesses plus élevées.
Ce lancement dans plusieurs villes est également une façon de brûler la politesse à Mobistar, qui planche également sur la technologie. En mai dernier, la filiale belge d’Orange avait dévoilé un test grandeur nature à Malines, entamé depuis le début de l’année.
Rien n’a cependant filtré jusqu’ici des projets de Mobistar. À l’époque, un communiqué indiquait simplement que la 4G+ serait commercialisée dès que des appareils compatibles seraient disponibles et que la couverture nationale serait suffisamment homogène pour offrir une expérience de qualité aux clients.
Source: Le Soir
Cette nouvelle technique de transmission mobile permet d’atteindre des vitesses jusqu’à deux fois plus rapides qu’en 4G. Avec cette dernière, les débits théoriques s’élèvent à 120 voire 150 Mbps. Avec la 4G+, on peut donc rêver de vitesses avoisinant les 300 Mbps. « Proximus veut garder son avance technologique et permettre à ses clients de continuer à bénéficier de la meilleure expérience en données mobiles sur l’ensemble de ses réseaux, tout en se préparant aux technologies de demain », explique son porte-parole, Haroun Fenaux.
Un lancement qui s’est fait plutôt discrètement. L’activation dans ces quatre premières villes a été faite fin septembre mais Proximus n’avait rien communiqué. Pour une raison simple : les smartphones compatibles avec la 4G+ sont encore rarissimes.
« Actuellement, les seuls appareils disponibles sont le Samsung Galaxy Note 4 et le Samsung Galaxy Alpha », précise-t-on chez Proximus. Qui ajoute que dans les mois à venir, de plus en plus d’appareils seront compatibles avec la technologie 4G+ et offriront la possibilité de faire usage de ces vitesses plus élevées.
Ce lancement dans plusieurs villes est également une façon de brûler la politesse à Mobistar, qui planche également sur la technologie. En mai dernier, la filiale belge d’Orange avait dévoilé un test grandeur nature à Malines, entamé depuis le début de l’année.
Rien n’a cependant filtré jusqu’ici des projets de Mobistar. À l’époque, un communiqué indiquait simplement que la 4G+ serait commercialisée dès que des appareils compatibles seraient disponibles et que la couverture nationale serait suffisamment homogène pour offrir une expérience de qualité aux clients.
Source: Le Soir
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