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RÉSEAUX GSM, GPRS ET UMTS en Belgique

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  • RÉSEAUX GSM, GPRS ET UMTS en Belgique

    Inégalité Flandre-Wallonie
    Proximus, Mobistar et Base, sont désormais au coude à coude pour la qualité de leurs réseaux GSM et GPRS. Pour l’UMTS, par contre, on est loin du compte. Cela dit, cette situation est en pleine évolution, Proximus ayant lancé, le 15 septembre, une offre UMTS destinée au grand public.
    Notre dernière analyse du réseau de téléphonie mobile date de2001 et se limitait au seul service GSM. Depuis de nouveaux développements, comme le GPRS (pour accéder au Wap ou à Internet) et l’UMTS (pour un transfert de données beaucoup plus rapide), sont venus s’ajouter au catalogue des possibilités. Par ailleurs, la qualité du réseau a bien évolué. Nous avons donc une nouvelle fois sillonné la Belgique, en voiture et en train, avec nos appareils de mesure pour vérifier la qualité, non seulement des appels vocaux, mais aussi de la transmission/réception de données.
    Précisons d’emblée que la partie du test effectuée en voiture l’a été dans des conditions de réception et d’émission optimales avec antenne extérieure. Dans la réalité, ce n’est pas toujours aussi évident : bâtiments en béton armé, cage d’ascenseur, parking souterrain, etc. sont autant d’obstacles à une communication réussie. Nos mesures pourraient donc sembler optimistes à certains mais les résultats sont clairs : la Belgique dispose d’un réseau GSM et GPRS de haute qualité dont les seules faiblesses sont constatées dans les régions à moindre densité de population. Quant à l’UMTS, il est enfin accessible au grand public. Avec quelle qualité de réseau ? Difficile à dire pour l’instant.

    GetBanner("TopBanner", "fr");
    Comment avons-nous procédé ?
    Les tests ont été effectués en juin et juillet 2005. Des techniciens spécialisés ont sillonné la Belgique en voiture (2 500 km) et en train (700 km), munis de trois séries de trois GSM identiques. Un GSM par opérateur (Proximus, Mobistar, Base) et une série d’appareils par type de réseau, chaque «sets» de mesure étant relié, chaque fois à un ordinateur portable enregistrant toutes les données.
    Notre but : mesurer la qualité des réseaux GSM (couverture, accessibilité du réseau, qualité des appels) et GPRS (test des portails Wap des trois fournisseurs, Vodaphone Life pour Proximus, Orange World pour Mobistar et le portal i-mode pour Base) dans tout le pays ainsi que l’état de la couverture UMTS dans les 13 villes que Proximus affirmait servir au moment de nos tests. Pour les réseaux GSM et GPRS, par contre, nous n’avons fait aucun tests dans les villes et sur les autoroutes que l’on sait bénéficier d’une couverture complète et de qualité.
    La mise en œuvre
    • Pour le réseau GSM : 3 GSM identiques, munis chacun d’une carte SIM d’un opérateur différent, ont été raccordés à un ordinateur portable. Ce dernier a enregistré toutes les mesures et localisé chaque appel (un toutes les deux minutes pour chaque opérateur) grâce à un GPS (système de navigation mobile). Au total, 5 415 appels ont été lancés, soit 1 805 par opérateur.
    • Pour le réseau GPRS : les techniciens ont lancé, avec un autre set de 3 GSM, une connexion par opérateur toutes les 30 minutes.
    • Pour l’UMTS, un scanner relié à un ordinateur a balayé non-stop la bande de fréquences dans les 13 villes, de manière à vérifier l’existence ou non d’un signal pour chaque opérateur, et d’en vérifier la puissance.
    Des conditions idéales
    Les tests se sont déroulés dans des conditions optimales d’émission et de réception. En tout cas pour ceux réalisés en voiture, celle-ci étant équipée d’antennes extérieures spécialement calibrées pour l’utilisation GSM et UMTS.



    GSM : des faiblesses wallonnes
    Qu’il soit possible de donner et recevoir un appel à un endroit donné est une chose, encore faut-il que la qualité de la communication soit suffisante et que votre appel ne soit pas interrompu.
    Pour mesurer tout cela, certains paramètres ont été enregistrés toutes les 4 secondes. C’est le cas du RX Qual, une unité de mesure qui donne une idée de la qualité du réseau, de sa puissance, des erreurs survenues durant les appels ainsi que de sa surcharge éventuelle (trop d’appels en même temps entraînent une moins bonne qualité). Le CST (Call Setup Time) a calculé, lui, le temps nécessaire pour initier chaque appel.
    La multiplicité des appels a permis de dégager des données statistiques fiables pour toute la Belgique, que nous avons divisée en cinq grandes «régions» : Anvers-Limbourg, Brabant (wallon et flamand)-Hainaut, Flandres occidentale et orientale, Liège-Namur et Luxembourg. Sur les cartes vous pouvez suivre le trajet parcouru et repérer, pour chaque opérateur, l’endroit où le système d’appel a connu des difficultés (couleurs différentes).



    Courte tête pour Proximus
    Nous avons volontairement placé la barre très haut. Un réseau considéré comme bon avec nos appareils de mesure devrait donc assurer pleinement un appel, y compris à l’intérieur d’un bâtiment, dans des conditions normales.
    Première constatation, le réseau est en général très bon, tant pour la couverture que pour la qualité, sur (presque) toute la Belgique. Même si les résultats restent largement meilleurs en Flandre qu’en Wallonie.
    Dans le Nord du pays, où la couverture est sans doute plus aisée vu la densité de population et le relief, le nombre d’appels de grande qualité est particulièrement haut, surtout pour Proximus et Base. En Wallonie, par contre, le nombre de communications perturbées ou d’appels non réalisés (pas de réseau ou interruption) est plus élevé. Le Brabant est la province qui s’en sort le mieux, suivie du Hainaut, de Liège-Namur et, enfin du Luxembourg.
    Dans ces régions moins bien couvertes, Proximus garde un net avantage. Quant à Base, malgré son arrivée plus tardive sur le marché, il a de toute évidence, depuis nos tests précédents, réussi à construire un réseau bien implanté. En Flandre mieux qu’en Wallonie, où il n’arrive malheureusement pas à obtenir les mêmes résultats. Raison avancée par l’opérateur pour expliquer cette différence : il est plus difficile d’implanter des antennes dans le sud du pays qu’au nord.
    Quoiqu’il en soit, pour ce qui est des mesures en voiture, Proximus ne descend jamais en-dessous de 93% d’appels de bonne qualité, y compris au Luxembourg. Base dont les résultats sont similaires à ceux de Proximus en Flandre, chute par contre dans cette région à 73,8% d’appels de bonne qualité et 9% de satisfaisants. Mobistar présente le même type de défaillance sur la Wallonie, chutant aussi, dans le Luxembourg, à 75,6% d’appels de bonne qualité et 8,3% de satisfaisants.





    Ça coince dans le train
    Autre constatation, la vitesse de déplacement joue un rôle dans la réussite et la qualité des appels. Plus vite on se déplace, plus les perturbations sont importantes. Ce qui explique les moins bons résultats des trois opérateurs dans le train. Avec une chute plus conséquente encore dans les trains récents dont les vitres font pare-soleil. Ces mêmes vitres teintées équipent le pare-brise de certaines voitures. Dans ce cas, des problèmes similaires, mais moindre (une seule vitre fait barrage) peuvent se rencontrer tant pour le GSM que pour le GPS (système de navigation mobile) sans antenne extérieure.



    UMTS : on cherche et on trouve… peu
    Au moment de nos tests, Proximus, couvrait déjà 13 villes : Bruxelles, Anvers, Bruges, Saint-Nicolas, Gand, Malines, Louvain, Courtrai, Alost, Hasselt, Liège, Namur et Charleroi. Au moment d’ouvrir son réseau au grand public, l’opérateur a assuré couvrir près de 230 villes et communes, soit 61% de la population et promet l’installation rapide de nouvelles antennes UMTS pour s’étendre.
    L’atout de ce réseau : une vitesse de transmission environ 30 fois plus rapide que le GSM. Cette nouvelle génération de téléphonie mobile ouvre la porte à la vidéophonie, au captage d’émissions de télévision, au téléchargement de musique, etc.



    Encore plus rapide, à l’avenir
    Dans l’avenir l’UMTS sera encore renforcé par l’arrivée du HSDPA (High Speed Downlink Package Acces). Vitesse de transmission des données : 1 à 10 Mbps, soit mieux qu’une connexion ASDL actuelle. À l’avenir, il est probable que l’offre de téléphones mobiles se scindera : d’un côté de petits appareils pour appels et SMS, de l’autre des téléphones à plus grand écran pour les applications.



    GPRS : le Wap et le Net
    Nous avons voulu dresser une carte de la couverture GPRS en Belgique et nous faire une idée du temps d’accès au portail web des trois opérateurs : Vodaphone Life pour Proximus, Orange World pour Mobistar et I-Mode pour Base.
    Comme le montrent les cartes, en Belgique, la couverture GPRS, qui se confond avec celle du réseau GSM, est très étendue ce qui est loin d’être le cas dans les pays voisins. Ce parallèle sous-tend (et nos mesures le confirment) les mêmes faiblesses dans certaines régions. Aujourd’hui, on en est à une vitesse de transmission maximale de l’ordre de 45 kbps, mais de nombreux téléphones mobiles disposent déjà de la technologie EDGE (Enhanced Data rates for Global Evolution), une évolution du réseau GSM/GPRS, qui promet une vitesse de transmission des données plus rapide, mais limitée à la moitié de la vitesse de l’UMTS.



    Le paradoxe belge
    Comme souvent, la Belgique est un paradoxe ambulant. Nous sommes à la pointe de la couverture européenne en ce qui concerne le GSM et le GPRS avec un réseau très performant dans l’ensemble quoique plus faible en Wallonie qu’en Flandre où les trois opérateurs se tiennent de près. Même si Proximus propose un réseau de meilleure qualité en Wallonie que les autres. Par contre, nous sommes à la traîne, bien loin derrière les autres, pour l’UMTS. Ce dernier offre aux opérateurs le grand avantage de pouvoir gérer l’utilisation de la bande passante à leur convenance. Reste à espérer que cela ne se fera pas aux dépends des petits utilisateurs (et payeurs). D’autant que les services proposés coûtent cher. Ex : télécharger une chanson est plus facile et meilleur marché via le Net avec un ordinateur, à condition que le téléphone supporte le format téléchargé. En ce qui concerne la qualité d’image, elle reste moyenne pour la vidéophonie (avec perte de qualité du son). Pour la télévision mobile, par contre, c’est assez convaincant, à condition d’utiliser un téléphone avec un bon écran. Les dimensions sont évidemment limitées ce qui reste un problème pour la lecture des sous-titres.

  • #2
    Tu peux citer la source ... histoire de voir l'intégraliter de l'article et remercier ses auteur
    GSM: SE K610i Smartphone: j'avais un mpx200, j'ai plus...
    PDA: déjà eu Palm m105, m505, zire 72, Clié NR70V, iPaq 3970
    PDAPhone: QTEK S100, QTEK 9100 * GPS: Mio C710 Premium
    Console: Wii

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    • #3
      Sympa comme article, bien rédigé, et surtout : OBJECTIF

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      • #4
        Test-Achats Newsletter

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        • #5
          T'as pas le lien pour avoir les graphiques?

          Merchi :-)

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          • #6
            mais bon,meme test achat ne sait pas écrire vodaFone correctement
            Iphone XS + Mobilus ambassador
            iPad Mini retina 64go
            Xbox One + Xbox 360


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            • #7
              Non deso moi je l ai eu pas mail et je ne crois qu il y est un graphique

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              • #8
                Envoyé par vanessa
                Inégalité Flandre-Wallonie
                Proximus, Mobistar et Base, sont désormais au coude à coude pour la qualité de leurs réseaux GSM et GPRS. Pour l’UMTS, par contre, on est loin du compte. Cela dit, cette situation est en pleine évolution, Proximus ayant lancé, le 15 septembre, une offre UMTS destinée au grand public.
                Notre dernière analyse du réseau de téléphonie mobile date de2001 et se limitait au seul service GSM. Depuis de nouveaux développements, comme le GPRS (pour accéder au Wap ou à Internet) et l’UMTS (pour un transfert de données beaucoup plus rapide), sont venus s’ajouter au catalogue des possibilités. Par ailleurs, la qualité du réseau a bien évolué. Nous avons donc une nouvelle fois sillonné la Belgique, en voiture et en train, avec nos appareils de mesure pour vérifier la qualité, non seulement des appels vocaux, mais aussi de la transmission/réception de données.
                Précisons d’emblée que la partie du test effectuée en voiture l’a été dans des conditions de réception et d’émission optimales avec antenne extérieure. Dans la réalité, ce n’est pas toujours aussi évident : bâtiments en béton armé, cage d’ascenseur, parking souterrain, etc. sont autant d’obstacles à une communication réussie. Nos mesures pourraient donc sembler optimistes à certains mais les résultats sont clairs : la Belgique dispose d’un réseau GSM et GPRS de haute qualité dont les seules faiblesses sont constatées dans les régions à moindre densité de population. Quant à l’UMTS, il est enfin accessible au grand public. Avec quelle qualité de réseau ? Difficile à dire pour l’instant.


                GetBanner("TopBanner", "fr");

                Comment avons-nous procédé ?
                Les tests ont été effectués en juin et juillet 2005. Des techniciens spécialisés ont sillonné la Belgique en voiture (2 500 km) et en train (700 km), munis de trois séries de trois GSM identiques. Un GSM par opérateur (Proximus, Mobistar, Base) et une série d’appareils par type de réseau, chaque «sets» de mesure étant relié, chaque fois à un ordinateur portable enregistrant toutes les données.
                Notre but : mesurer la qualité des réseaux GSM (couverture, accessibilité du réseau, qualité des appels) et GPRS (test des portails Wap des trois fournisseurs, Vodaphone Life pour Proximus, Orange World pour Mobistar et le portal i-mode pour Base) dans tout le pays ainsi que l’état de la couverture UMTS dans les 13 villes que Proximus affirmait servir au moment de nos tests. Pour les réseaux GSM et GPRS, par contre, nous n’avons fait aucun tests dans les villes et sur les autoroutes que l’on sait bénéficier d’une couverture complète et de qualité.
                La mise en œuvre
                • Pour le réseau GSM : 3 GSM identiques, munis chacun d’une carte SIM d’un opérateur différent, ont été raccordés à un ordinateur portable. Ce dernier a enregistré toutes les mesures et localisé chaque appel (un toutes les deux minutes pour chaque opérateur) grâce à un GPS (système de navigation mobile). Au total, 5 415 appels ont été lancés, soit 1 805 par opérateur.
                • Pour le réseau GPRS : les techniciens ont lancé, avec un autre set de 3 GSM, une connexion par opérateur toutes les 30 minutes.
                • Pour l’UMTS, un scanner relié à un ordinateur a balayé non-stop la bande de fréquences dans les 13 villes, de manière à vérifier l’existence ou non d’un signal pour chaque opérateur, et d’en vérifier la puissance.
                Des conditions idéales
                Les tests se sont déroulés dans des conditions optimales d’émission et de réception. En tout cas pour ceux réalisés en voiture, celle-ci étant équipée d’antennes extérieures spécialement calibrées pour l’utilisation GSM et UMTS.



                GSM : des faiblesses wallonnes
                Qu’il soit possible de donner et recevoir un appel à un endroit donné est une chose, encore faut-il que la qualité de la communication soit suffisante et que votre appel ne soit pas interrompu.
                Pour mesurer tout cela, certains paramètres ont été enregistrés toutes les 4 secondes. C’est le cas du RX Qual, une unité de mesure qui donne une idée de la qualité du réseau, de sa puissance, des erreurs survenues durant les appels ainsi que de sa surcharge éventuelle (trop d’appels en même temps entraînent une moins bonne qualité). Le CST (Call Setup Time) a calculé, lui, le temps nécessaire pour initier chaque appel.
                La multiplicité des appels a permis de dégager des données statistiques fiables pour toute la Belgique, que nous avons divisée en cinq grandes «régions» : Anvers-Limbourg, Brabant (wallon et flamand)-Hainaut, Flandres occidentale et orientale, Liège-Namur et Luxembourg. Sur les cartes vous pouvez suivre le trajet parcouru et repérer, pour chaque opérateur, l’endroit où le système d’appel a connu des difficultés (couleurs différentes).



                Courte tête pour Proximus
                Nous avons volontairement placé la barre très haut. Un réseau considéré comme bon avec nos appareils de mesure devrait donc assurer pleinement un appel, y compris à l’intérieur d’un bâtiment, dans des conditions normales.
                Première constatation, le réseau est en général très bon, tant pour la couverture que pour la qualité, sur (presque) toute la Belgique. Même si les résultats restent largement meilleurs en Flandre qu’en Wallonie.
                Dans le Nord du pays, où la couverture est sans doute plus aisée vu la densité de population et le relief, le nombre d’appels de grande qualité est particulièrement haut, surtout pour Proximus et Base. En Wallonie, par contre, le nombre de communications perturbées ou d’appels non réalisés (pas de réseau ou interruption) est plus élevé. Le Brabant est la province qui s’en sort le mieux, suivie du Hainaut, de Liège-Namur et, enfin du Luxembourg.
                Dans ces régions moins bien couvertes, Proximus garde un net avantage. Quant à Base, malgré son arrivée plus tardive sur le marché, il a de toute évidence, depuis nos tests précédents, réussi à construire un réseau bien implanté. En Flandre mieux qu’en Wallonie, où il n’arrive malheureusement pas à obtenir les mêmes résultats. Raison avancée par l’opérateur pour expliquer cette différence : il est plus difficile d’implanter des antennes dans le sud du pays qu’au nord.
                Quoiqu’il en soit, pour ce qui est des mesures en voiture, Proximus ne descend jamais en-dessous de 93% d’appels de bonne qualité, y compris au Luxembourg. Base dont les résultats sont similaires à ceux de Proximus en Flandre, chute par contre dans cette région à 73,8% d’appels de bonne qualité et 9% de satisfaisants. Mobistar présente le même type de défaillance sur la Wallonie, chutant aussi, dans le Luxembourg, à 75,6% d’appels de bonne qualité et 8,3% de satisfaisants.






                Encore
                Vanessa a déjà placé la source !

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                • #9
                  Ca te fais fait plaisir hein ???

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                  • #10
                    On ne fait que tirer des généralités, sans double test, sans prise en compte de différents paramétres telles que la préssence de EDGE chez Mobistar et en cours chez Base.

                    De plus, le texte à utilisé dans le sens que l'on veut, et pas le réel avec le recul nécéssaires à ce genre de chiffre
                    &

                    Commentaire


                    • #11
                      Les chiffres que j'ai donné dans l'autre article sont vrai, ça on peut lire dans l'article ici, dans cette topic.

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                      • #12
                        c'est un vieu test ca .... Mobi* n'était qu'au début du dévelloppement du réseau 3G ... et proximus a encore évolué ...

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                        • #13
                          Envoyé par buzzy
                          Les chiffres que j'ai donné dans l'autre article sont vrai, ça on peut lire dans l'article ici, dans cette topic.
                          Les chiffres sont vrais dans un cadre bien donné. C'est à dire sur un certains itinéraire, et a un moments donné bien précis. Prendre ces chiffres pour la vérité vrais est absurde.

                          Il s'agit d'un sondage pour les chiffres. Mais en aucun cas la réalités car dans ce cas il faudrais faire cm par cm tout le térritoire
                          &

                          Commentaire


                          • #14
                            Mais pur la couverture du gsm pure sang les chiffres sont claires.

                            Commentaire


                            • #15
                              Clair en quoi ?
                              &

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