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  • Panne De Réseau

    Le troisième opérateur mobile français est tombé en panne.
    La faute de la panne de 2 serveurs.

    Mais le mal est plus profond et guête tous les réseaux mobiles : La capacité insuffisante des réseaux.
    V*I*N*I - L'Economiste
    Siemens ST55
    Rédacteur Astel.be

    Oui a l'interdiction de fumer dans les restos et cafés

    OPERATEURS MOBILES : Un peu de tout...

  • #2
    Et surtout, les clients ont reçu des compensations en minutes d'appel gratuites. Il y en a qui devraient en prendre de la graine...... suivez mes yeux
    [COLOR=red]SonyEricsson S700[/COLOR]
    [COLOR=blue]Daca ar durea prostia, multi au striga pe strazi...[/COLOR]

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    • #3
      Rappelle moi ?
      Base est tombé en panne ?
      Je me souviens que Proximus est tombé partiellement une fois.
      Et que un fois la zone 087 de Belgacom aussi.
      V*I*N*I - L'Economiste
      Siemens ST55
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      • #4
        Et oui, Base a eu une panne aussi. C'était à la rentrée, la, je me souviens plus de la date exacte, ça avait duré 3-4 heures je crois...
        [COLOR=red]SonyEricsson S700[/COLOR]
        [COLOR=blue]Daca ar durea prostia, multi au striga pe strazi...[/COLOR]

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        • #5
          PARIS (Reuters) - Bouygues Telecom a estimé vendredi aux alentours de 16 millions d'euros, dont la moitié due aux remises offertes à ses clients, l'impact financier de la panne de son réseau de téléphonie mobile mercredi.


          "Sur la base du chiffre d'affaires 2003 (de 3,3 milliards d'euros), une journée de communications perdues représente environ huit millions d'euros", a déclaré le PDG de l'opérateur, Gilles Pélisson, lors d'une conférence de presse.


          A la question de savoir si le coût du geste commercial accordé par l'opérateur serait du même montant, il a répondu par l'affirmative.


          L'opérateur contrôlé par Bouygues n'a toujours pas pu fournir d'explication précise sur l'origine de la panne, qui a perturbé les communications de ses sept millions de clients durant plus d'une journée.


          Pierre Marfaing, directeur des Technologies Réseau et des Systèmes d'information, a catégoriquement exclu "tout acte de malveillance et toute erreur humaine". Il a ajouté que les conclusions d'un audit interne seraient publiées avant la fin du mois de novembre.


          Gilles Pélisson a déclaré qu'il coopérerait à l'enquête diligentée jeudi par le ministre délégué à l'Industrie, Patrick Devedjian, et menée par le vice-président du Conseil général des Technologies de l'information, Jean-Michel Hubert.


          A titre de geste commercial, les abonnés Bouygues Telecom à des forfaits, grand public et professionnels, se verront offrir, sous forme de déduction du forfait, leurs communications, voix et données, y compris vers les numéros spéciaux, et les messages SMS passés depuis la France métropolitaine entre le mercredi 17 novembre à 18h et le jeudi 18 novembre à minuit.


          DEUX SERVEURS TOUCHES


          Pour les utilisateurs de cartes prépayées et de "mini-comptes rechargeables", un crédit de communication de cinq euros sera offert. Pour ceux dont la carte arrivait à échéance mercredi ou jeudi, la date limite de validité repoussée de 48 heures.


          Sur les sept millions de clients de Bouygues Telecom, 2,5 millions utilisent des cartes prépayées et des mini-comptes.


          Plus de 1,375 million de personnes n'ont pu émettre ou recevoir aucun appel entre mercredi 6h00 et jeudi 1h30, selon l'opérateur. Il souligne que la majorité des clients, soit 5,6 millions, ont connu des difficultés pour accéder au réseau. Seuls 1,3 million d'abonnés ont pu passer et recevoir des appels normalement au cours de cette période.


          La panne a touché deux des plus importants serveurs de localisation géographique des abonnés, fournis par Tekelec, une société américaine qui équipe plus de 300 opérateurs de télécommunications dans le monde, dont les trois acteurs mobiles français.


          Pour une raison encore inconnue, un premier serveur s'est mis hors service mercredi à 6h00 et le second, qui avait pris le relais, est tombé en panne six à sept minutes plus tard.


          La probabilité que ces deux serveurs défaillent simultanément a été décrite comme "presque impossible" par le directeur des services informatiques de Bouygues Telecom.


          Aucun système de voix sur IP (Internet Protocol), comme celui responsable des perturbations sur le réseau de téléphonie fixe de France Télécom les 29 et 30 octobre, ni le système de transmission EDGE, ne sont en cause, a déclaré Olivier Roussin, directeur du réseau.


          L'opérateur a réfuté les rumeurs d'un acte de piratage ou de virus informatique.


          source : Yahoo!
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