Le quadruple play dans le viseur
Non, si la tension est palpable, c’est parce qu’au-delà du symbole foot, VOO cherche aujourd’hui à élargir son terrain d’action, quitte à creuser le déficit (97 millions € en 2010, équilibre prévu en 2013).
Et, toujours en duo avec les Flamands de Telenet, à tailler des croupières au géant Belgacom sur le marché de la téléphonie mobile également.
Après avoir uni leurs forces pour s’octroyer les droits de notre D1 (165 millions €), les alliés ont récemment acquis la dernière licence 3G disponible, tandis que des discussions ont déjà eu lieu avec Base et Mobistar.
Ce qui va lui permettre de désormais se positionner sur le marché de l’avenir, celui du quadruple play (télé-internet-téléphone fixe-téléphone mobile). Or, Belgacom vit des temps agités, entre parts de marché en recul et vague de départs au sein de l’équipe dirigeante. Qu’on se le dise : ce n’est plus la guerre du foot, c’est la guerre tout court.
Source : Lavenir.net
Non, si la tension est palpable, c’est parce qu’au-delà du symbole foot, VOO cherche aujourd’hui à élargir son terrain d’action, quitte à creuser le déficit (97 millions € en 2010, équilibre prévu en 2013).
Et, toujours en duo avec les Flamands de Telenet, à tailler des croupières au géant Belgacom sur le marché de la téléphonie mobile également.
Après avoir uni leurs forces pour s’octroyer les droits de notre D1 (165 millions €), les alliés ont récemment acquis la dernière licence 3G disponible, tandis que des discussions ont déjà eu lieu avec Base et Mobistar.
Ce qui va lui permettre de désormais se positionner sur le marché de l’avenir, celui du quadruple play (télé-internet-téléphone fixe-téléphone mobile). Or, Belgacom vit des temps agités, entre parts de marché en recul et vague de départs au sein de l’équipe dirigeante. Qu’on se le dise : ce n’est plus la guerre du foot, c’est la guerre tout court.
Source : Lavenir.net
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