(Re)Bonjour à tous et merci pour vos réponses ! Ne t'excuse pas pour la longueur de ton intervention Vidocq, j'ai pris plaisir à la lire et c'est agréable de constater que l'on est pris au sérieux, ce qui manque sans doute aux "hotliners" de nos FAIs tant critiqués. 
Au bout du compte, je crois que c'est plus le fait d'être considéré comme un pigeon par les décideurs, que l'instabilité du service qui me (nous ?) met en rogne. Bien sûr, ce ne sont peut-être que des rumeurs, mais j'ai lu ça et là quelques interventions de la part de techniciens TELE2, et ça ne m'a pas beaucoup rassuré. Avec le bon sens, on essaie de se persuader que les grands groupes n'iront pas jusqu'à vous réduire à l'expression "pompe à fric" (car cela signifie dénigrer le client et par extension, provoquer son insatisfaction), mais force est de constater que c'est tout de même le cas. Comment le responsable de TELE2 Belgique peut-il rester de marbre face à l'exode massif de ses clients pourtant tout juste acquis ? Pourquoi rien ne s'améliore ? Moins de client = moins de profit (à moins que je n'aie rien compris dans la vie), et à partir du moment où il y a des actionnaires prêts à pester à la moindre baisse de leurs bénéfices, j'ai du mal à comprendre comment on peut laisser durer une telle situation. Certes, TELE2 est une offre "low cost" (mais pas tant que ça) par rapport à Belgacom, mais cela doit-il signifier une telle médiocrité de service ?
Je rejoints tes propos Vidocq, quand tu expliques que l'innovation passe par des phases d'empirisme auxquelles il est nécessaire que certains clients adhèrent (j'espère ne pas dénaturer ton discours). En effet, comme tout nouveau produit, il y a des défauts, ce qu'on peut être en mesure d'accepter, dans l'espoir d'obtenir au final un système performant, pour lequel il valait le coup de patienter. Sauf si l'on vous répond avec des accusés de réception automatisés, ce qui revient à faire la sourde oreille à vos attentes. La qualité des produits subissant en général un nivellement par le bas (c'est en tout cas l'impression que j'ai depuis plusieurs années), c'est par le service que se démarquent les entreprises. Quand il est inexistant, que faire ?
Les prix de l'ADSL en Belgique en font un produit de luxe, par rapport à certains pays dont la France (où je vais certainement habiter dans 2 à 3 ans, mais pas à l'origine pour une question d'ADSL, bien entendu). Certes, je suis en mesure de comprendre que nous n'avons pas la même infrastructure, que ce n'est pas la même clientèle, et que les partenaires des FAIs belges ne sont pas les mêmes que ceux des FAIs français. Tout ceci a forcément une répercussion sur les prix, d'autant plus que des études de marché ont sûrement été effectuées, et elles auront conclu que le revenu moyen d'un citoyen belge permet un modèle de tarification précis. Comme par exemple, le Colruyt en ville est parfois plus cher que le Colruyt à la campagne.
A mon avis, les politiques devraient faire pression, et elles auraient tout à y gagner. Car le prix de l'ADSL, pour moi, précarise l'accès à l'information. Sans haut débit, tout type de flux autre que du simple texte devient laborieux à consulter. Et cela risque d'exclure une certaine frange de la population de la révolution numérique.

Au bout du compte, je crois que c'est plus le fait d'être considéré comme un pigeon par les décideurs, que l'instabilité du service qui me (nous ?) met en rogne. Bien sûr, ce ne sont peut-être que des rumeurs, mais j'ai lu ça et là quelques interventions de la part de techniciens TELE2, et ça ne m'a pas beaucoup rassuré. Avec le bon sens, on essaie de se persuader que les grands groupes n'iront pas jusqu'à vous réduire à l'expression "pompe à fric" (car cela signifie dénigrer le client et par extension, provoquer son insatisfaction), mais force est de constater que c'est tout de même le cas. Comment le responsable de TELE2 Belgique peut-il rester de marbre face à l'exode massif de ses clients pourtant tout juste acquis ? Pourquoi rien ne s'améliore ? Moins de client = moins de profit (à moins que je n'aie rien compris dans la vie), et à partir du moment où il y a des actionnaires prêts à pester à la moindre baisse de leurs bénéfices, j'ai du mal à comprendre comment on peut laisser durer une telle situation. Certes, TELE2 est une offre "low cost" (mais pas tant que ça) par rapport à Belgacom, mais cela doit-il signifier une telle médiocrité de service ?
Je rejoints tes propos Vidocq, quand tu expliques que l'innovation passe par des phases d'empirisme auxquelles il est nécessaire que certains clients adhèrent (j'espère ne pas dénaturer ton discours). En effet, comme tout nouveau produit, il y a des défauts, ce qu'on peut être en mesure d'accepter, dans l'espoir d'obtenir au final un système performant, pour lequel il valait le coup de patienter. Sauf si l'on vous répond avec des accusés de réception automatisés, ce qui revient à faire la sourde oreille à vos attentes. La qualité des produits subissant en général un nivellement par le bas (c'est en tout cas l'impression que j'ai depuis plusieurs années), c'est par le service que se démarquent les entreprises. Quand il est inexistant, que faire ?
Les prix de l'ADSL en Belgique en font un produit de luxe, par rapport à certains pays dont la France (où je vais certainement habiter dans 2 à 3 ans, mais pas à l'origine pour une question d'ADSL, bien entendu). Certes, je suis en mesure de comprendre que nous n'avons pas la même infrastructure, que ce n'est pas la même clientèle, et que les partenaires des FAIs belges ne sont pas les mêmes que ceux des FAIs français. Tout ceci a forcément une répercussion sur les prix, d'autant plus que des études de marché ont sûrement été effectuées, et elles auront conclu que le revenu moyen d'un citoyen belge permet un modèle de tarification précis. Comme par exemple, le Colruyt en ville est parfois plus cher que le Colruyt à la campagne.
A mon avis, les politiques devraient faire pression, et elles auraient tout à y gagner. Car le prix de l'ADSL, pour moi, précarise l'accès à l'information. Sans haut débit, tout type de flux autre que du simple texte devient laborieux à consulter. Et cela risque d'exclure une certaine frange de la population de la révolution numérique.
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